150ᵉ session de l’Assemblée générale de l’Union interparlementaire (UIP)

Le sénateur Louis-Jean de Nicolaÿ a participé, aux côtés de plusieurs parlementaires français, à la 150ᵉ session de l’Assemblée générale de l’Union interparlementaire (UIP) qui s’est tenue à Tachkent, en Ouzbékistan.

Cette mission internationale a été l’occasion d’aborder de nombreux sujets majeurs au sein des différentes commissions de l’organisation :

• Commission de la paix et de la sécurité internationale, avec notamment la rédaction d’un projet de résolution portant sur une solution à deux États en Palestine ;

• Commission du développement durable, autour d’un projet de résolution sur les effets des conflits sur le développement durable à l’échelle mondiale ;

• Forum des femmes parlementaires, consacré à l’impact des convictions et normes sociales sur la santé des femmes, marqué par des témoignages poignants de victimes de violences ;

• Commission de la démocratie et des droits de l’homme, où a été examinée une résolution sur l’impact de l’intelligence artificielle sur la démocratie, les droits de l’homme et l’État de droit.

Les échanges ont également permis de réfléchir au rôle des parlementaires dans la lutte contre les conséquences des conflits armés, en particulier sur les enfants, les femmes et le développement durable.

De nombreuses réunions bilatérales ont eu lieu avec des délégations venues d’Arménie, du Maroc, des Philippines, de Géorgie, d’Israël, des Émirats arabes unis, du Royaume-Uni, du Qatar, de la RDC, du Brésil et d’autres pays, illustrant la richesse du dialogue interparlementaire.

Une rencontre s’est également tenue à l’ambassade de France à Tachkent, à l’invitation de l’ambassadrice, avec les représentants des entreprises françaises implantées en Ouzbékistan. La session a enfin été marquée par le discours du président de la République d’Ouzbékistan, prononcé en séance plénière.

Cette 150ᵉ session, rythmée par plus de soixante-dix événements et débats, a confirmé les défis croissants auxquels le monde est confronté, tout en rappelant l’importance et la nécessité de renforcer la diplomatie parlementaire comme vecteur de paix, de dialogue et de progrès.